I told the world one day, I would pay it back say it on tape and lay it, record it so that one day I could play it back But I don't even know if I believe it when I'm saying that Y'all starting to creep in, everyday it's just so gray and black
Encore un jour où Alexia trainait des pieds dans l'infirmerie. Depuis plusieurs heures, elle n'avait rien vu d'intéressant. Restant dans son coin, elle se mit alors à étudier. S'il y avait bien une chose dans laquelle elle réussissait, mis à part emmerder son monde, c'était bien les études. Alex était du genre coriace quand elle commençait à s'intéresser à quelque chose. Elle ne lâchait pas les lianes. Bien au contraire. Tout ce qu'elle espérait, c'était pouvoir partir en expédition, à l'extérieur. Certains médecins le faisaient. Pourquoi pas elle, un jour ? Son objectif était fixé depuis des années : Alexia désirait voir le soleil, admirer le paysage qui s'offrait à elle. Même quelques secondes. Un espoir qui se voulait impossible mais qui continuait de perdurait dans son esprit...Rêveuse, la jeune femme se fit réveiller, en sursaut, par des cris provenant de l'entrée. Un nouveau patient venait d'entrer. Et au vu de sa douleur, cela ne semblait pas être un simple rhume. Se levant de sa chaise tout en faisant tomber ses livres, Alexia se mit à courir vers les fameux bruits. Elle voulait en faire partie. Ou du moins, juste regarder. Certes elle était très bonne, mais comme toute élève débutant, il lui manquait trop de connaissance pour gérer seule une situation d'urgence. « Et voilà comme d'habitude on te ferme la porte au nez. Bande de nazes ! » Ses yeux bleus se mirent à suivre la lourde porte qui se referma juste avant qu'elle ne passe. La jeune rebelle n'avait pas dit son dernier mot...Se retournant à une vitesse aussi rapide que Buzz l'éclair, Alexia rentra malencontreusement dans quelqu'un. Enfin ce quelqu'un, elle le reconnut aussitôt que ses yeux avaient pu se poser sur son visage. Alex Wagner. Un des gars de la sécurité. Trouvant alors sa solution en le voyant, la jeune femme se mit à sourire. Chose plutôt rare chez elle. « Tiens donc, je vais commencer à croire que je te manque à force de venir ici ! » Bien entendu, Alex blaguait. Elle avait très rapidement compris qu'il était là pour son collègue blessé. De plus, elle connaissait le passé du jeune homme. Ses allées et venues à l'infirmerie n'étaient en rien marrante...Elle avait pu, plusieurs fois, travailler sur son dossier et lui faire passer les tests. Ce qui d'ailleurs, fit un déclic dans la tête de la jeune brune. « Au faites, tu n'es pas venu pour tes derniers examens demandés. Tu sais la surveillance et patati patata...Alors soit je te les fais maintenant et tu n'en parles plus, soit mon supérieur se fera une joie de te remonter les bretelles jusqu'à demander une suspension parce que tu n'es pas venu...Alors ? » Au fond, Alexia avait une idée en tête. Elle avait besoin de savoir ce qui venait de se passer. Alex était la meilleure solution qu'elle est pu trouver pour comprendre. Manipulatrice ? Son quotidien est envahi par cette facette.
Alex J. Wagner est mon nom et il n'appartient qu'à moi
Fiche RPG
Infos de baseMessages : 314 Points : 328 Date d'inscription : 17/10/2015
Sujet: Re: I need a doctor | Alex Jeu 26 Nov - 3:40
Alexia & Alex
“I need a doctor"
Ce matin, en me réveillant, je ne pensais pas que la journée serait aussi...pénible et pleine de rebondissement. Je ne pensais pas une seule seconde que ces adolescents venus de l'Espace, oui, de l'espace, pourraient atterrir ici, à quelques pas du Mont Weather. On pensait vraiment à une comète qui avait crashé, mais les radars signalaient des présences humaines mais surtout qu'il s'agissait d'une navette spatiale qui était répertoriée. Une navette vieille de cent ans. Ce n'était pas normal. Oui, pas normal du tout. On ne pensait réellement pas que des humains avaient survécu dans l'espace. Nos ancêtres nous en avaient parlé, disant qu'une grande partie des survivants étaient partis dans le néant cosmique mais croire qu'ils aient pu survivre aussi longtemps, ce n'était pas la même chose. Mais preuve qu'ont n'avaient pas pu imaginer quelque chose de tel possible, mais qui était pourtant bien réel.
J'étais carrément démoralisé en sachant que je ne pouvais pas aller sur place, à cause de ma maladie. Je risquais gros et ils ne pouvaient pas se permettre d'envoyer des personnes déjà en danger avec la santé car une moindre brèche dans la combinaison et j'y passais pour être honnête. Donc oui, pas prendre de risque inutile, tel avait été les paroles de notre chef. Bien que j'eut été à l'entrée des troupes et donc de ces jeunes qui étaient franchement nombreux. Je les regardais, tour à tour. Ils étaient relativement dans le même état que moi et mes compagnons : dubitatif. Plein de questions sans réponse. Ouais, cela serait moins marrant. Bon la plupart avait été gazé car on ne savait pas comment pourrais réagir ces derniers. Et déjà des blessés c'étaient fait voir. Un de nos hommes était lourdement blessé et la combinaison avait manqué de peu de s'être percé. Je m'étais donc dépêché de l'emmener avec un collège à l'infirmerie de la zone de quarantaine. Pas le choix, fallait qu'on évite la contamination. Je laisse donc les infirmiers qui étaient déjà bien prêts prendre l'homme et me laisser devant l'entrée du bloc de décontamination. Je souffle légèrement, un peu inquiet. C'est toutefois, une voix que je connais parfaitement, qui me tire de mes songes. Je pivote légèrement et plisse un peu le front en te voyant et répondant alors à tes paroles :
« Ah, ah. Très drôle. Crois-moi j'aimerais mieux que ça soit le cas, que de venir pour ce genre de chose. » Dis-je en parlant évidemment de mon collègue blessé. Oui, on était tous assez solidaire et surtout proche les uns des autres. J'espérais vraiment qu'il n'ait rien de grave. « Quoi ? Oh sérieusement, pas maintenant Alexia. J'sais pas si t'as vue, mais on a une centaine de gosses venus de je ne sais où à s'occuper, j'ai pas vraiment le temps pour ça.. » Grommelais-je donc. Mais bon, tes paroles me firent assez soupirer, parce que tu avais raison. Tu avais raison et mon supérieur allait me massacrer si je ne faisais pas ça au plus vite. Je soupire une seconde fois, avant de me laisser convaincre et donc te suivre dans l'infirmerie. Je m'installe donc sur un lit, avant donc de te regarder faire :
« Et bien, ils te laissent faire maintenant toute seule, le Docteur Phills à l'air de te faire confiance. Mais j'te préviens t'a pas intérêt à te tromper dans les produits ou je ne sais quoi, car ça va chauffer pour ton cul » Ajoutais-je en souriant finement en coin pour te taquiner.
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