Sujet: Vive la maladresse (pv Elliot) Sam 31 Oct - 20:48
Avec mon grand père, j'avais enfin une famille. Oui une famille. Mais le bonheur est éphémère. Quand mon grand père tomba malade il ne voulut pas aller à l'infirmerie, il refusa que je sortes du quartier pour aller chercher de l'aide. Il ne voulait pas que je me montre. Il voulait que je sois discrète. J'ai veillé, j'ai essayé de l'aider mais je n'ai rien pu faire et il mourut. C'était il y a un mois jour pour jour aujourd'hui. Je n'oublierai jamais. Son regard, dans son regard je pouvais y voir de la peur mais aussi beaucoup de souffrance. Mon grand père était devenu mon tout, ma famille, mon repère, mon guide. Je me sentais si seule maintenant. Je ne me mélange pas trop aux autres d'ailleurs personnes ne me remarque, on me croise sans vraiment me croiser. Enfin vraiment personne? suis je vraiment invisible? J'apprends à me battre. Dans quel but? C'est important de pouvoir défendre c'est mon grand père qui ne cessait de me le répéter. Il y a des bruits qui court. Le danger peut être tout autour de nous. Peut on avoir confiance aux personnes extérieurs? Je ne sais pas. Mais je sais que rien est acquis. Non rien. Cela fait plusieurs nuits que je ne dors pas peut être est ce pour cela que j'ai l'impression de marcher un peu au ralentis oui peut être. C'est peut être pour cela que je viens de m'étaler de tout mon long sur le sol après mettre prit les pieds dans un pieds de meuble. Tout en grognant je me relève
"qu'elle cruche que je fais..."
En me relevant je remarque la douleur dans ma jambe droite. Je baisse les yeux pour remarquer que je saigne. C'est vraiment pas ma journée. Je regarde ma montre. Oh non je vais être en retard. Je m'occuperais de ma jambe plus tard. Je dois retrouver Jack. Mon grand père avait confiance en lui et il m'apprend à me défendre mais il n'aime pas les retards. Je sors en trompe de l'appartement quand soudain BONGGGGG. Le souffle coupé. Que se passe t'il? Je suis par terre. ça fait mal. J'ai l'impression d'avoir le thorax prit dans un étau. Respirer c'est difficile. Je me rends soudain compte que l'étaux est un homme. Tout bas j'articule poliment
"S'il vous plait vous pouvez vous relever...Vous m'empêchez de respirer."
Elliot L. Fitzgerald est mon nom et il n'appartient qu'à moi
Fiche RPG
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Sujet: Re: Vive la maladresse (pv Elliot) Mar 10 Nov - 19:27
❝When we don't know how to live❞ Elliot et Cassandra
Je venais tout juste de sortir de l’infirmerie et je voulais aller dans la salle commune pour jouer un match d’échecs avec Alex. Chaque semaine, ont se faisait une partie et personne ne pouvait empêcher ça. Il me restait quelques heures avant le début de ce match, que je devais absolument gagner. Je tournai un coin sans vraiment regarder ou j’allais lorsque je me retrouvai à plat ventre, sur une jeune femme, sur le sol. Cette situation était plutôt malaisante – je comprenais maintenant pourquoi j’étais médecin et non dans la garde, je n’avais aucun équilibre et mettrais toute mon équipe en danger si jamais j’avais à sortir une arme. « S'il vous plait vous pouvez vous relever...Vous m'empêchez de respirer. » Je n’avais aucun réflexe et définitivement aucuns sens du temps qui passe. Je me relevai rapidement et tendis la main à la jeune femme pour l’aider à se remettre sur pied. « Je suis vraiment désolé, je ne regardais pas du tout ou j’allais. » Je ne l’avais jamais vu, ou alors je n’avais jamais vraiment remarqué la jeune femme. C’était pourtant presque impossible puisque nous étions – pour la plupart – tous confinés dans ce bunker. Je ne voulais pas fixer, ce n’était pas la chose la plus polie de la terre alors je m’apprêtai à continuer mon chemin – lorsque je réalisai que ce n’était pas non plus ce qui avait de plus galant. Je lui tendis la main une fois de plus, mais cette fois-ci, c’était pour me présenter. « Elliot Fitzgerald, mais mes amis m’appellent Fitz. » J’observais la jeune femme, elle n’était définitivement pas du groupe qui était tombé du ciel – ce qui m’apportait plus de questions que de réponse. Peut-être qu’en 20 ans, jamais je n’avais croisé son chemin par simple hasard, mais encore là, ça me surprendrait vraiment.
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